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Écritures

 

Ici, ma bibliothèque idéale, avec quelques commentaires ; complétée par des fiches de lecture

 

Là, des textes « littéraires » de moi, dont je ne suis pas absolument mécontent… 

 

Dans le même genre, voici la listes de mes pastiches (chansons, poèmes, etc.)
Autour du jeu de go
Trois chansons de Brel
Un poème de Baudelaire (Spleen)
Le récit de la Genèse (du Go).
Il n'y a pas de joueur heureux (Brassens)
Autres
Il n'y a pas de taupin heureux (Brassens)
Un autre pastiche de Brassens, sur les enseignants
La quête (du taupin TSI, d'après Brel)

 

Enfin, je collectionne des fragments de textes exemplaires, pour une raison ou pour une autre. J'ai recopié sur cette page les plus courts, et donné des pointeurs vers d'autres textes essentiels. Mais à l'opposé, et si vous lisez l'anglais, ne manquez pas ces spectaculaires maladresses.

 

Depuis septembre 2004, j'ai également créé une page de "morceaux de bravoure", c'est-à-dire de textes nettement moins intéressants, mais qui constituent (ou ont constitué) mon fond de commerce d'anecdotes personnelles, de réflexions générales plus ou moins fumeuses, de "bons mots", etc., le tout sous forme orale (et face, le plus souvent, à des publics captifs, mais pas forcément captivés) ; j'espère que quelques-uns de ces fragments vous arracheront au moins un sourire...

 

 

 

 

 

 

 

Mes sites préférés...

 

Oulipo et autres maîtres du verbe


L'Oulipo (Ouvroir de Littérature Potentielle) fut créé par Perec, Queneau et quelques autres...  Mais vous en saurez bien plus sur cette page. D’autre part, ce site vous permet, entre autre, de vous abonner à leur « mailing list »,

Par l'intermédiaire respectif du Go et des mathématiques, j'en ai connu personnellement d'assez près deux membres : Jacques Roubaud (qui n'a pas de page personnelle, et pour lequel ce lien est ce que j'ai trouvé de mieux sur le Web, mais en anglais; une fiche beaucoup plus succincte figure sur le site de Fatrazie, que je vous recommande par ailleurs) et Paul Braffort, qui, lui, vient de créer (en 2002) sa page personnelle. Cette autre page sur lui, en revanche, n’est pas une page personnelle; pour quelque chose de nettement plus personnel, allez voir ce texte dû à Anne Dicky, qui est, elle aussi, une amie personnelle.

 

Parmi les travaux oulipiens que je préfère, voici d'abord quelques fables traduites en lipogrammes (ma favorite étant « Un loup fond sur un mouton »),  mais bien sûr, La Disparition, de Georges Perec, en reste le tour de force absolu.

Nicolas Graner est un des auteurs les plus prolifiques de ces listes (la plupart des fables précédentes sont de lui), mais l'exploit (inspiré par une de ses idées) que je préfère est le sonnet inflationniste, de Gilles Esposito-Farèse (qui est plus connu comme astrophysicien, mais ça n'empêche pas...)

Vous trouverez sur les deux pages principales de ces auteurs des pointeurs vers d'innombrables exploits analogues; pensez, par exemple, à aller voir ce que « El Desdichado », de Nerval, peut devenir entre leurs mains...

 

Et enfin, on trouvera ici les textes d’inspiration oulipienne de ma bibliothèque idéale.

 

France-Culture présente chaque jour de 13h30 à 13h40 « Les décraqués », et le dimanche une émission d’une heure, « Des Papous dans la tête » d’inspiration fortement oulipienne. Les textes correspondants ne semblent, hélas, pas archivés sur le Net 

 

 

 

Ateliers d'écriture

La notion « moderne » d'atelier d'écriture a été importée en France par Elisabeth Bing (voyez ici pour une histoire de ces ateliers).  J’ai contribué à un certain nombre d’entre eux, et, au fil des années, j’ai ainsi commis quelques textes dont je ne suis pas absolument mécontent